Un peu de tout, un peu de nous
Un peu de tout, un peu de nous
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Bilan de cette aventure 

Bilan de cette aventure

Expérience culturelle

Voyager nous aura donné l’occasion de découvrir de nouvelles cultures, de comprendre l’histoire de ce continent.

Chaque jour, nous avions plusieurs questions à résoudre, que ce soit sur la culture elle-même, historique, sur la paysage, la faune et la flore, des questions plus scientifiques, et surtout des questions en rapport avec le monde dans lequel nous évoluons.

Expérience humaine

Durant cette aventure, nous voulions mettre l’accent sur la découverte de l’autre. Comme je le disais au début de notre aventure, nous sommes tous un autre pour quelqu’un.

Malgré des différences de langues, cela ne nous a pas empêché d’en apprendre plus sur les personnes que nous croisions, le temps de quelques minutes, ou de plusieurs jours.

Se reconnecter à soi-même.

Bien que nous avons l’habitude du côté nomade avec notre van, ici, c’était un tout autre voyage. Nous n’avions aucun repère, et c’était à nous de nous créer une petite bulle à nous.

Identifier ce que nous avions besoin, et surtout exprimer nos envies. Une belle richesse intérieure. Cela m’aura permis de belles méditations sur moi-même.

Expérience linguistique

Partir vers de nouveaux horizons est aussi l’occasion de s’ouvrir à de nouvelles langues.

Bien entendu, nous ne pouvons pas dire que nous bilingues en espagnol. Mais, le plus important, est qu’en seulement deux mois, chacun de notre tribu a découvert une autre langue, et en a retenu énormément de choses.

Nous sommes en mesure de comprendre ce que l’on nous dit et interagir avec d’autres personnes.

Je vous mets d’ailleurs, quelques phrases que j’ai réussi à dire, notamment durant nos cours d’espagnol, la première semaine.

El viaja con su muchilla para mirar del mundo.

La Vida es un viaje largo.

Quiero abrir me puerte para las personas qui viajar.

Quiero sensibilizar muchos ninos para la naturaleza.

Quiero veer mis ninos ser las buenos personas!

Expérience familiale

Nous avons tous conscience de la chance que nous avons. Voyager est une belle expérience, et le partager avec notre tribu est encore plus merveilleux.

Leur faire découvrir de nouveaux mondes, leur permettra sûrement d’apprendre à relativiser sur certaines difficultés de la vie, et surtout le fait qu’il est primordial de s’entraider quelque soit la culture.

Apprendre à s’adapter

L’adaptation est à notre sens une opportunité pour plus tard. Que ce soit dans la vie de tout les jours, au travail, ou au sein de son cocon familial, nous sommes confrontés à cela.

Cette aventure en famille laissera sûrement une trace pour permettre aux enfants de grandir.

Se débarrasser du superflu

Durant ce voyage, nous avions pris le minimum avec nous : 3 sacs de rando et 1 petit sac pour la journée.

Si nous avons la chance de repartir un jour, mon sac sera encore plus petit… apprendre à se débarrasser du superflu fait un bien fou.

Aller au bout de ses envies

Si il y a bien quelquechose que j’ai appris depuis la sortir de mon livre « Jardiner avec ma tribu », c’est de croire en soi et en ses projets, et surtout les faire vivre.

J’ai senti par exemple, thomas se questionner énormément sur des sujets difficiles, notamment pour lui permettre de continuer l’écriture de son livre.

Pour Léa qui grandit chaque jour un peu plus, ce voyage lui aura permis d’apprendre à se connaître un peu plus et identifier ce qui la captive.

Quant à Matt, cette chance de se déconnecter du quotidien lui aura donné l’occasion de se reconcentrer sur l’essentiel.

J’espère à travers cette aventure, avoir donné l’occasion d’en apprendre un peu plus sur ce monde.

Toutes mes excuses, si je n’ai pas envoyé de messages à chacun d’entre vous. Le blog était l’occasion de vous partager à tous cette aventure, et cela n’enlève en rien la chance que j’ai de tous vous connaître.

Mon leitmotiv dans la vie, c’est de la vivre par moi-même!

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Les galères du voyage 

Les galères du voyage

Qui dit voyage, dit galères…

Galère numéro une

Au Pérou, la galère numéro 1 fut durant le trek des incas, au deuxième jour, car durant toute la journée, nous avons gravi à 4213 m d’altitude, en cumulant 1500 m de dénivelés, pour arriver au campement sous une pluie torrentielle, et y dormir par moins 5 degrés.

La deuxième galère

Ce fut le passage de la frontière en Bolivie, car nous devions combiner l’attente des résultats, notre séjour au lac Titicaca au sein d’une famille d’accueil, notre retour à Puno pour récupérer du wifi et imprimer nos résultats et tenir compte du bus qui nous emmenait en Bolivie, en restant dans un délais de moins de 72 heures.

Troisième galère

Après notre séjour sur l’île Amantani sur le lac Titicaca, nous sommes revenus à Puno, afin de récupérer une connexion internet et obtenir nos résultats PCR. 

Et quelle fut notre surprise de constater que Léa était positive…. Nous n’avions pas du tout envisagé cela, car ces test étaient uniquement utiles pour nous permettre de passer en Bolivie.

Personne n’y croyait étant donné que Léa allait bien. Nous étions si proches pour passer en Bolivie. Finalement, notre voyage prendre une autre tournure dès cet instant.

Quatrième galère

Lorsque nous avons fait une visite en vélo à Bogota, il était prévu initialement 4 heures de visite. Mais en Colombie, le temps s’arrête et 4 heures peut vite se transformer en beaucoup plus. 

Bien évidemment, nous étions loin du terminal terrestre pour continuer notre aventure. Il nous aura fallu partir avec l’un des membres de l’équipe de la visite, qui soit disant connaissait la route de retour. Nous devions mettre normalement 25 minutes en roulant bien. Il nous aura fallu traverser des routes pas faciles à passer, et en plus la personne ne connaissait pas la route de retour.

Trois quart d’heure plus tard, et après avoir évité des obstacles, nous avons réussi à retourner au lieu de location de vélo. Trop tard pour réussir à être à l’heure pour notre bus! C’est ce que je pensais….. Nous avons tout donné, entre récupérer nos affaires, trouver un taxi et nous rendre au terminal terrestre… et tout cela dans les temps.

Merci à thomas re me rappeler qu’il faut toujours y croire, même si parfois j’avoue que je n’y croyais pas sur ce coup là!

Cinquième galère

À notre retour sur medellin pour continuer notre périple vers Jardin, nous avons pris le Métro, et en sortant de là, un gars a arraché mon collier de mon cou. 

Sur le coup, j’ai eu peur qu’il s’en prenne aux enfants. Conclusion des courses, un collier sans aucune valeur financière, mais une valeur sentimentale au vu de tout ce que j’avais pu vivre avec…

Sixième galère

Ce samedi 9 avril, une nouvelle aventure s’est offerte à nous! Nous avions en tête de nous diriger vers Solanto, et pour se faire, rien de tel que de prendre un bus local, nommé Chivas.

À première vue, on sait tout de suite que le parcours sera bien roots, au vu de l’engin.

Quelques minutes suffisent donc à nous diriger vers les chemins empierrés dans la jungle. 1h30 se passe durant laquelle nous profitons des paysages fantastiques et magiques, jusqu’à ce que…Le chivas se bloque net à l’arrêt…Pas de secret, nous savons tout de suite que le temps prévu initialement de 4 heures pour parcourir 50 km, sera bien plus long que prévu! 

Il nous aura fallu patienter 2 heures avant de pouvoir se sortir de cette boue sans fin. Les passagers étaient sortis du chivas, les baskets dans la boue…. plutôt les pieds pour enfin reprendre notre route, et nous voilà enfin arrivés!

Il nous aura fallu 7h30 pour faire 50 km et arrivés à Rio Sucio pour prendre un autre bus durant 3 heures…

Septième galère

Dans le parc Tayrona, nous avons fait l’expérience d’y aller la semaine sainte… et quelle grosse erreur. Du coup, à la clé, il y avait beaucoup beaucoup de monde, notamment près des plages accessibles. Nous avons dû dormir le deuxième jour en tente, à côté d’un gars qui n’a pas arrêté de crier de toute la nuit. 

Dormir avec ce bruit, par une température avoisinant les 35 degrés, et serrés dans une tente de 3 personnes avec nos sacs au bout des pieds, fut l’un des moments où tu te dis : mais pourquoi je suis ici?

Busy Holiday or vacation scene with lots of activity

Huitième galère mais plutôt courte

En nous dirigeant en bus vers Carthagène, en plein milieu de la route qui coupe la mère dès Caraïbes, nous avons crevé… je me suis dit que cela devait être notre destin d’être bloqués au milieu de nul part, où l’ombre est inexistante et où le soleil brûle.

Heureusement, un autre chauffeur de bus arrivant dans le sens contraire, est venu nous aider. Finalement, ce fut une courte pause!

Neuvième galère

Nous étions sur Carthagène en mode tranquillou, la vie est belle… lorsque arrivés au guichet de retrait d’argent, notre carte bleue s’est littéralement bloquée. 

Impossible de la retirer de l’appareil… à ce moment là, on se dit que c’est bien la cata… et sans demander quoique ce soit, des colombiens sont venus d’eux mêmes nous aider, ainsi qu’un policier qui passait par hasard dans le secteur. Voir cette entraide est tellement beau! Merci

Dixième galère

Nous étions tranquillement dans notre logement à carthagène, lorsque Thomas a commencé à saigné du nez… rien de très inquiétant jusque là. Mais son saignement était tellement important, que son corps s’est littéralement vidé de toute énergie. Affaibli, il ne tenait quasiment plus debout. Nous étions donc, l’un tenant thomas dans la douche, l’autre essayant de faire compresse, et le troisième lui donnant un peu de choses sucrées à manger. Cet épisode dura longtemps, si bien qu’au petit déjeuner, thomas mangea tout ce qu’il y avait en face de lui.

Comme vous pouvez le voir, ces galères ont été minimes, et fort heureusement. Mais sur le coup, on se rend vite compte que toutes ces petites mésaventures nous rappellent que la vie n’est jamais linéaire!

À nous de poursuivre notre chemin toujours grands ouverts!

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Les dessous d’une famille de routards

Les dessous d’une famille de routards

Voyager, tout le monde vous dira que c’est génial! Qu’il n’y a que de cela de vrai! Que la vie est un voyage!

Je suis tout à fait d’accord avec toutes ces belles phrases, mais sachez comme pour nos aventures en van, l’envers du décor!

Préparer les itinéraires

Un voyage même en mode roots, se prépare et d’autant plus avec des enfants. L’idée n’est pas de faire n’importe quoi! Enfin, on essaye!

Matt avait la partie et non des moindres, de gérer la partie voyage à proprement parlé, en réfléchissant aux itinéraires possibles, les lieux à visiter, les lieux où dormir, où manger, le nombre de nuit à prévoir selon les endroits.

Sachez toutefois, que dans la majeure partie des cas, nous bougions tout les 2 à 3 jours grand maximum…

Anticiper va avec le mot voyage

Du coup, Matt devait tout le temps être dans l’anticipation, car en plus d’anticiper, il avait soin de faire au mieux pour que tout le monde se sente bien!

S’adapter à chaque nouvel endroit

Nous bougions donc très souvent, et il était question de s’adapter quotidiennement à notre nouvel environnement.

Tout les 2, 3 jours, il fallait refaire les sacs! C’est à dire nos 3 sacs de randonnées pour Matt, Léa et moi, ainsi que le sac de jour, dans lequel il y avait notre matériel informatique (iPad, liseuse, appareil photo, carnet de voyage) et le nécessaire pour la journée. Tout cela était porté par thomas!

Pas de folie côté tenue vestimentaire 

L’avantage au fur et à mesure de l’avancée de notre voyage, nous savions exactement ce que nous avions besoin comme habits. Si vous regardez d’un peu plus près les photos, ne soyez pas étonnés que nous portions les mêmes vêtements! La machine à laver n’était pas comprise dans le forfait. Du coup, dès que je savais que nous restions au moins 2 nuits, j’en profitais pour faire une petite lessive dite d’hygiène (c’est à dire à la main et pour amener un peu de frais).

Un des gros avantages depuis que nous voyageons en van, et que nous sommes habitués à porter les mêmes habits!

J’ai rangé, je range, je rangerai 

De mon côté, car sinon vous allez penser que je ne faisais rien, il fallait ranger les sacs les quotidien. Une tâche qui prenait du temps, surtout lorsqu’il fallait prévoir le nécessaire pour la randonnée, la jungle en période de pluie, sur le voilier, pour la plage, pour faire ses visites….

Anticiper la nourriture et manger varié

C’est aussi penser à anticiper ce dont nous avions besoin en terme de nourriture, notamment pour Léa et Thomas, qui ont décidé de nous faire un pic de croissance à cette même période. 3 fois par jour, il était important d’essayer de varier les plats.

Du coup, lorsque nous avions dans le logement, une cuisine à disposition, quel bonheur de faire à manger comme on le souhaite!

Certains diront que manger au resto tout le temps c’est génial! Bah non! Pour ma part, j’ai l’habitude de cuisiner avec beaucoup de légumes, et que ce soit le Pérou ou la Colombie, à part féculents et viande, pas facile de manger équilibré! Enfin, c’est une question de point de vue.

C’est d’ailleurs ce qui était difficile pour moi, car peu de légumes étaient disponibles.

À la recherche de l’or bleue : l’eau potable

La nourriture ok, mais il s’agit également de l’eau, car nous ne pouvions boire du robinet, n’étant malheureusement pas potable comme en France.

Voyager c’est apprendre et aussi retranscrire

Le côté découverte et laisser une trace de notre voyage faisait partie de mon travail, ainsi que celle des enfants.

À savoir que pour cela, il est nécessaire de se renseigner sur ce que nous allions visité, et également chercher des réponses toutes les questions qui émanaient de nos différentes visites, que ce soit pour les enfants et aussi pour moi!

À défaut de faire l’école de manière traditionnelle, j’ai pris à cœur d’instruire les enfants par le biais de l’école de la vie, et suivant ce qu’ils se posaient comme questions!

Cela m’a valu des temps de recherches incroyables, mais au combien intéressantes pour toute la tribu.

Des heures à chercher des réponses dans n’importe quel endroit, lorsque nous avions une connexion internet!

Continuer l’école différemment

D’ailleurs, j’ai été impressionnée de la manière dont les enfants ont su continuer l’école à distance. Certes de manière différente, car Léa et thomas faisaient l’essentiel de leurs leçons et devoirs au réveil, c’est à dire entre 6h20 et 8h00. J’avoue dans le lit, surtout pour Léa.

Il arrivait également de faire les devoirs durant nos trajets en bus. Sachez que les routes ne sont pas du tout comme en France. Je vous laisse imaginer la difficulté d’être continuellement secoué pour faire une division par exemple! 

Poursuivre le carnet de voyage des enfants 

Puis, l’écriture de leur carnet de voyage et les temps de lecture étaient essentiellement durant les nombreux trajets. Ne vous attendez pas à un trajet calme, tranquille et reposant… c’était un voyage à lui tout seul!

Nous étions ballotés dans tout les sens et pour autant cela ne les a pas empêchés d’utiliser ces temps libres pour avancer sur ce qu’ils devaient faire.

Faire abstraction du « confort »

Je rebondis sur le côté confort en voyage! Qui dit voyager en famille, dit forcément un budget qui doit essayer de tenir la route pour ne pas en rentrant ne manger que des pâtes (même si je croie que finalement, ce sera une grosse restriction en rentrant). 

Quoiqu’il en soit, nous privilégions plutôt les logements avec une douche chaude, lorsque cela était possible surtout au Pérou, mais également si le logement proposait une cuisine, de manière à éviter le prix plus onéreux au resto.

Faire des choix chaque jour

Durant ce voyage, il nous a fallu faire des choix sur ce que nous voulions faire, ce qui était quasiment obligatoire, choisir des guides français lorsque c’était possible et que le prix n’était pas trop exorbitant, ou au contraire des guides anglais et/ou espagnol, en prenant le soin de retranscrire aux enfants.

Arrivés à la fin de la journée, je vous assure que nous nous endormions sans problème.

Se déplacer, toujours une question difficile

Il nous a fallu également poser le pour et le contre concernant les transports. Nous avons privilégié le bus collectivo. Bien moins chère que les taxis et bus privés, voir même l’avion, ce type de transport a le mérite de parcourir des kilomètres sans problème. 

Plusieurs fois, nous avons pris des bus de nuit, lorsque le temps de trajet dépassait les 8 à 10 heures. Encore une fois, côté confort, tout est selon ce que chacun estime!

Perdre la notion du temps

Une des particularité en voyage, c’est que l’on perd complètement la notion du temps! Quel jour sommes-nous?

Génial lorsque l’on souhaite déconnecter et laisser au temps prendre le dessus, mais cela veut dire aussi que les jours défilent, sans forcément se rendre compte qu’il n’y a pas de jour Off. 

Pas de week-end pour se reposer, alors il est primordial pour chacun d’avoir ses moments off dans la journée. Facile à dire, mais pas évident lorsque nous sommes dans des lieux où nous ne connaissons rien!

Apprendre à connaître le milieu tropical

Durant cette aventure, il aura fallu également subir les inconvénients des zones tropicales, avec entre autres les piqûres de moustiques, qui ont pris plaisir à goûter chacun d’entre nous.

Apprendre à connaître le mal des montagnes

Au Pérou, même si le mal des montagnes a été largement bien supporté, il n’est jamais évident de déceler surtout auprès de Léa et Thomas, des symptômes propres à ce mal. Quelques désagréments parfois, maux de tête plus ou moins sérieux, mais rien qui n’a mérité une attention plus particulière.

S’adapter en cas de tourista

Un des sujets qui revient souvent est la tourista. Et bien évidemment qu’elle a fait partie du voyage, mais elle n’aura été qu’en coup d’éclair et bien heureusement vue l’étendue ses dégâts.

Heureusement que j’avais pris à disposition des médicaments de premières nécessités.

Bilan du voyage

Voyager c’est apprendre sur le monde qui nous entoure, et également sur soi même. Une belle découverte qui restera malgré certaines contraintes, un voyage inoubliable!

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La découverte de l’autre, un grand merci  

La découverte de l’autre, un grand merci  

Cette aventure fut d’une grande richesse humaine, et c’est ainsi que nous voulions vivre cette expérience.

Au Pérou, un grand merci à :

  • La famille Yvonne à Cusco pour leur accueil durant notre semaine de cours d’espagnol et à notre retour du Machu Picchu.
  • Gladys et Abraham qui nous ont aidés durant 1 semaine à apprendre l’espagnol de manière intensive.
  • Eloïse, une restauratrice qui d’ici la fin de l’année partira peut être vivre une autre aventure d’un an en antarctique. Une fille pétillante avec qui nous avions partagée la visite de la vallée sacrée près de Cuzco.
  • Un couple avec leurs deux filles qui voyagent autour du monde durant 15 mois, et avec qui nous avions pu échanger juste avant de faire la vallée sacrée.
  • À Alex et Gwen de l’agence Escapaté qui nous ont aidés pour organiser la vallée sacrée et le trek des Incas, ainsi que pour leurs nombreux conseils pour la suite du voyage.
  • À Eddy notre guide de la vallée sacrée sans qui nous ne connaîtrions pas autant de choses du monde des Incas.
  • À Ricardo, Gilles, Jesus et l’équipe de porteurs dans qui nous n’aurions pas pu réaliser l’Inca Trail, et que nous aimerions revoir aux grandes médiévales en juin prochain à Andilly.
  • Notre chauffeur qui nous a ramené de Ollantaytambo à Cusco et qui a pris soin de récupérer les affaires que nous avions laissées à notre logement pendant l’inca Trail.
  • Un belge que nous avons rencontré à Arequipa lors de notre petit déjeuner à l’hôtel. Un chouette échange durant lequel le voyage nous démontre l’ouverture d’esprit.
  • Un couple de retraités a Arequipa avec qui j’ai pu échanger sur voyager avec des enfants, car eux-mêmes avaient fait cela avec leurs enfants durants de longues années.
  • Un couple de jeunes qui sont partis en septembre 2021 et qui seront de retour sur Nantes pour l’été 2022. Une belle rencontre sur la presqu’île Llachon avec leur chien d’adoption.

En Amazonie, un grand merci à :

  • Annie, une grand mère au franc parlé, révolutionnaire dans l’âme et au grand cœur qui nous a partagé son jardin qu’est l’Amazonie. Une rencontre qui démontre que la jeunesse c’est seulement dans la tête.

En Colombie, un grand merci à :

  • un couple de français que nous avons rencontré à Bogota et avec qui nous avons pu échanger sur notre voyage en Colombie, car de leur côté ils étaient en tour du monde. Merci pour toutes les infos. 
  • Un ancien professeur qui désormais à la retraite, a ouvert un super hébergement à Baricharra et qui par la même occasion a ouvert dernièrement un bar avec ses copains sur Limoges : le limogé.
  • Une femme d’une gentillesse sans limite qui nous a accueillie à l’auberge Adventure hostel à San Gil. Elle nous a aidée à planifier la journée d’après. Des heures de questionnement et de logistique en moins, un vrai cadeau. Pour la remercier, je lui ai laissé un message écrit en français pour que son fils âgé d’à peine 6 ou 7 ans, puisse apprendre la langue, ainsi qu’un noyau d’avocat prêt à faire sa première tige. Comme quoi, mon lien à la nature n’a aucune frontière!
  • Dans cette même auberge, nous avons rencontré un jeune de trente ans, d’une incroyable gentillesse, qui découvre le monde et en échange se porte volontaire pour des missions. Voyager ce n’est jamais que dans un sens. Ce jeune m’impressionne car il donne, et il reçoit tout autant. Merci pour cette gratitude. Petit clin d’œil pour la carte de transport offerte de medelin.
  • A Guatape, nous avons eu l’occasion de manger dans un restaurant breton, dont le gérant était français. Quel bonheur de manger des produits que nous connaissons si bien. Merci à lui pour ses nombreux conseils et son accueil dans ce petit village.
  • Lors de notre périple en chivas entre Jardin et Solento, il n’y a plus de barrière de langues lorsque le chivas est bloqué à l’arrêt dans la boue. Des rencontres aux quatre coins du globe, aux langues diverses et variées, mais qui sur le moment ont fait que ce moment ne soit pas considéré comme un calvaire. Merci à vous tous.
  • À travers les explications de notre guide Goje (alias Gorges en français), durant 7 heures, nous avons pu avoir un regard vrai sur Carthagène et son passé. Un guide au top, aussi bien sur le plan historique, que philosophie de vie, et humain. Une belle rencontre qui restera gravée dans nos esprits.
  • La vie est incroyable et le destin est quelquechose de fascinant. Nous avons partagé ce voilier avec une autre famille québécoise. Une famille très sympathique voyageant durant 7 mois dans le monde. En discutant avec eux de leurs visites au Pérou, ils nous expliquent qu’ils ont fait le Matchu Pitchu vers la mi mars. Jusque là, tout est normal. Et, tout à coup, Philippe, nous dit : « mais, on vous a vu passer avec vos gros sacs finir le trek des incas! ». Après avoir eu une description complète de ce que nous portions ce jour là, et vérifier la date à laquelle nous sommes arrivés sur le site même du machu Pitchu, le verdict tombe! Nous nous étions déjà croisés au machu Pitchu, et 1 mois et demi plus tard, nous partions en voilier sur la mer Caraïbes!!! C’est incroyable le destin!
  • Un énorme merci à notre capitaine richard pour son incroyable aventure sur la mer Caraïbes. Une expérience qui restera à jamais gravée dans nos cœurs.

Nous voulions remplir notre réservoir de rencontres, nous avons été gâté! Merci pour ces beaux moments de coeur!

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Références de films et dessins animés  

Références de films et dessins animés 

En voyage, ce qui est curieux et peut être amusant pour moi, c’est de faire le parallèle entre ce que j’ai pu observer, découvrir, apprendre, et faire le lien avec des films ou des dessins animés que j’avais pu voir.

Pour certaines situations, cela me faisait rire, pour d’autres, cela était triste de constater la réalité des choses. 

  • Rio en Amazonie.
  • Friends avec la chanson Copacobana près de la Bolivie.
  • Raya avec le cours d’eau qui semble remonter au Pérou
  • Tad l’explorateur à Cusco
  • Hunger games en Amazonie
  • Les fourmis en Amazonie
  • Les croods au Machu Picchu
  • Attrape moi si tu peux dans les aéroports
  • Coco avec toutes les couleurs dans les rues
  • Men in black, à barichara au petit déjeuner, car un chien nous observait avec les mêmes yeux globuleux.
  • Les fourmis avec les fourmis à gros cul en région de santander.
  • Taxi driver avec le conducteur direction parc de chicamocha vers Bucaramanga, où la vie semblait trop courte.
  • La Mule avec Clint Eastwood, lors de notre séjour en Colombie
  • El encanto à Jardin
  • Jurassic park lors de notre trajet en chivas au milieu de nul part entre jardin et solento.
  • Taxi driver avec le conducteur direction Pereira vers les portes de Tayrona. Penser à reprendre ses cours de conduite en rentrant, car nous avons perdu tout nos repères en conduite.
  • Seul au monde au parc Tayrona
  • 12 years a slave à Carthagène