Les galères du voyage 
Les galères du voyage 

Les galères du voyage 

Les galères du voyage

Qui dit voyage, dit galères…

Galère numéro une

Au Pérou, la galère numéro 1 fut durant le trek des incas, au deuxième jour, car durant toute la journée, nous avons gravi à 4213 m d’altitude, en cumulant 1500 m de dénivelés, pour arriver au campement sous une pluie torrentielle, et y dormir par moins 5 degrés.

La deuxième galère

Ce fut le passage de la frontière en Bolivie, car nous devions combiner l’attente des résultats, notre séjour au lac Titicaca au sein d’une famille d’accueil, notre retour à Puno pour récupérer du wifi et imprimer nos résultats et tenir compte du bus qui nous emmenait en Bolivie, en restant dans un délais de moins de 72 heures.

Troisième galère

Après notre séjour sur l’île Amantani sur le lac Titicaca, nous sommes revenus à Puno, afin de récupérer une connexion internet et obtenir nos résultats PCR. 

Et quelle fut notre surprise de constater que Léa était positive…. Nous n’avions pas du tout envisagé cela, car ces test étaient uniquement utiles pour nous permettre de passer en Bolivie.

Personne n’y croyait étant donné que Léa allait bien. Nous étions si proches pour passer en Bolivie. Finalement, notre voyage prendre une autre tournure dès cet instant.

Quatrième galère

Lorsque nous avons fait une visite en vélo à Bogota, il était prévu initialement 4 heures de visite. Mais en Colombie, le temps s’arrête et 4 heures peut vite se transformer en beaucoup plus. 

Bien évidemment, nous étions loin du terminal terrestre pour continuer notre aventure. Il nous aura fallu partir avec l’un des membres de l’équipe de la visite, qui soit disant connaissait la route de retour. Nous devions mettre normalement 25 minutes en roulant bien. Il nous aura fallu traverser des routes pas faciles à passer, et en plus la personne ne connaissait pas la route de retour.

Trois quart d’heure plus tard, et après avoir évité des obstacles, nous avons réussi à retourner au lieu de location de vélo. Trop tard pour réussir à être à l’heure pour notre bus! C’est ce que je pensais….. Nous avons tout donné, entre récupérer nos affaires, trouver un taxi et nous rendre au terminal terrestre… et tout cela dans les temps.

Merci à thomas re me rappeler qu’il faut toujours y croire, même si parfois j’avoue que je n’y croyais pas sur ce coup là!

Cinquième galère

À notre retour sur medellin pour continuer notre périple vers Jardin, nous avons pris le Métro, et en sortant de là, un gars a arraché mon collier de mon cou. 

Sur le coup, j’ai eu peur qu’il s’en prenne aux enfants. Conclusion des courses, un collier sans aucune valeur financière, mais une valeur sentimentale au vu de tout ce que j’avais pu vivre avec…

Sixième galère

Ce samedi 9 avril, une nouvelle aventure s’est offerte à nous! Nous avions en tête de nous diriger vers Solanto, et pour se faire, rien de tel que de prendre un bus local, nommé Chivas.

À première vue, on sait tout de suite que le parcours sera bien roots, au vu de l’engin.

Quelques minutes suffisent donc à nous diriger vers les chemins empierrés dans la jungle. 1h30 se passe durant laquelle nous profitons des paysages fantastiques et magiques, jusqu’à ce que…Le chivas se bloque net à l’arrêt…Pas de secret, nous savons tout de suite que le temps prévu initialement de 4 heures pour parcourir 50 km, sera bien plus long que prévu! 

Il nous aura fallu patienter 2 heures avant de pouvoir se sortir de cette boue sans fin. Les passagers étaient sortis du chivas, les baskets dans la boue…. plutôt les pieds pour enfin reprendre notre route, et nous voilà enfin arrivés!

Il nous aura fallu 7h30 pour faire 50 km et arrivés à Rio Sucio pour prendre un autre bus durant 3 heures…

Septième galère

Dans le parc Tayrona, nous avons fait l’expérience d’y aller la semaine sainte… et quelle grosse erreur. Du coup, à la clé, il y avait beaucoup beaucoup de monde, notamment près des plages accessibles. Nous avons dû dormir le deuxième jour en tente, à côté d’un gars qui n’a pas arrêté de crier de toute la nuit. 

Dormir avec ce bruit, par une température avoisinant les 35 degrés, et serrés dans une tente de 3 personnes avec nos sacs au bout des pieds, fut l’un des moments où tu te dis : mais pourquoi je suis ici?

Busy Holiday or vacation scene with lots of activity

Huitième galère mais plutôt courte

En nous dirigeant en bus vers Carthagène, en plein milieu de la route qui coupe la mère dès Caraïbes, nous avons crevé… je me suis dit que cela devait être notre destin d’être bloqués au milieu de nul part, où l’ombre est inexistante et où le soleil brûle.

Heureusement, un autre chauffeur de bus arrivant dans le sens contraire, est venu nous aider. Finalement, ce fut une courte pause!

Neuvième galère

Nous étions sur Carthagène en mode tranquillou, la vie est belle… lorsque arrivés au guichet de retrait d’argent, notre carte bleue s’est littéralement bloquée. 

Impossible de la retirer de l’appareil… à ce moment là, on se dit que c’est bien la cata… et sans demander quoique ce soit, des colombiens sont venus d’eux mêmes nous aider, ainsi qu’un policier qui passait par hasard dans le secteur. Voir cette entraide est tellement beau! Merci

Dixième galère

Nous étions tranquillement dans notre logement à carthagène, lorsque Thomas a commencé à saigné du nez… rien de très inquiétant jusque là. Mais son saignement était tellement important, que son corps s’est littéralement vidé de toute énergie. Affaibli, il ne tenait quasiment plus debout. Nous étions donc, l’un tenant thomas dans la douche, l’autre essayant de faire compresse, et le troisième lui donnant un peu de choses sucrées à manger. Cet épisode dura longtemps, si bien qu’au petit déjeuner, thomas mangea tout ce qu’il y avait en face de lui.

Comme vous pouvez le voir, ces galères ont été minimes, et fort heureusement. Mais sur le coup, on se rend vite compte que toutes ces petites mésaventures nous rappellent que la vie n’est jamais linéaire!

À nous de poursuivre notre chemin toujours grands ouverts!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.