Légendes au Pérou
Légendes au Pérou

Légendes au Pérou

Légendes au Pérou

Les taureaux de Pucará

Les taureaux de Pucará, sont un véritable symbole pour les andins, car ils représentent l’union des énergies négatives et positives, qui garantissent bonheur et protection pour les habitants de la maison, mais aussi fertilité.

Ce sont des sculptures en céramique placées sur le toit de leur maison.

Pour son élaboration, les artisans comptent sur un savoir-faire qui s’est transmis de génération en génération.

Le premier spécimen aurait été conçu près de Puno dans le Sud du Pérou. L’origine de ces taureaux serait la suivante :

Une saison de sécheresse sévère aurait inquiété les habitants, car l’eau devenait rare. Un habitant décida de livrer un taureau en offrande au dieu Pachakamaq, et monta avec l’animal jusqu’au rocher de Pucará. Mais la bête résista si bien que l’une de ses cornes toucha un rocher, et l’eau commença à couleur suffisamment pour que la ville ne souffre plus de la sécheresse.

En 2018, le ministère péruvien de la Culture a déclaré le taureau de Pucará « Patrimoine Culturel National ».

Vilcabamba, le dernier refuge des Incas. 

Lorsque nous faisions le trek des Incas avec notre guide Gilles, thomas eut l’envie de partager un peu de son imagination pour son livre Samoth. En écoutant la suite de son récit, Thomas nous décrivait un dernier refuge, celui de son Pays fantastique. Gilles rebondit sur cela, en précisant que l’histoire de Thomas était similaire à celle de Vilcabamba, le dernier refuge des Incas.

Coïncidence, ou peut-être magie, cela nous démontre que l’imagination rend les choses possibles.

En voici son récit.

À l’ombre des Andes, cachée sous la végétation luxuriante de la forêt amazonienne, dans la province de La Convencion à Cusco, se cache l’un des plus incroyables trésors secrets du Pérou. Vilcabamba était le dernier refuge des Incas, connue également sous le nom de «Cité perdue des Incas», avant la destruction de leur empire par les Espagnols. 

Son emplacement était un mystère pendant des centaines d’années et avait été clairement identifié il y a seulement quelques décennies, en 1964 par l’explorateur américain Gene Savoy, soit 53 ans après la découverte du Machu Picchu en 1911.

Après l’invasion espagnole, les derniers rebelles incas se sont réfugiés à Vilcabamba (jungle sauvage de Cusco) entre 1536 et 1573, où ils ont établi leur dernier refuge, car la jungle en faisait un site inaccessible pour les espagnols, bien qu’ils en connaissaient son emplacement.

Les derniers incas ayant régné à Vilcabamba étaient :  Manco Inca, Túpac Sayri, Titu Cusi et Tupac Amaru I.

La forêt amazonienne a caché les bâtiments de Vilcabamba pendant des siècles jusqu’à sa découverte

Les espagnols ont imaginé qu’une grande richesse d’or et d’argent aurait été emportée à Vilcabamba, mais les recherches n’ont rien donné, si ce n’est, que 500 ans auparavant, ce territoire était celui de la culture pré-Inca ‘Wari’ et que les Incas d’en était servi.

Au total, les vestiges d’environ 60 bâtiments et près de 300 maisons recouvertes de mousse, de lichen, de vignes ont été découverts dans une dense végétation de jungle.

Comme j’ai pu le dire à Thomas, il reste encore plein de trésors à trouver sur cette terre.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.